Mon CV "chantant"
Toute petite déjà, dans ma petite école d'Augicourt, la maîtresse Mme Fillet me faisait monter sur son estrade et chanter devant mes petits camarades La Nuit de Rameau.
En même temps, après le cathé, Melle Zélie nous apprenait avec son harmonium les chants sacrés de la messe en latin et quelques chants en français pour glorifier le bon Dieu.
Puis l'heure du collège arriva et Melle Lelonbec (j'ai oublié son nom) nous initia à la chorale à deux voix. Comme j'étais déjà sérieuse et appliquée j'eus la faveur d'apprendre les deux voix pour montrer la différence à mes petits camarades, lesquels avaient tendance à les confondre ou plutôt les mélanger volontairement... Nous chantions alors, et je m'en souviens comme si c'était hier Le petit cheval blanc et Vl'à l'bon vent !
Au lycée ce fut aussi la chorale du jeudi... Fallait bien occuper les pensionnaires !
A la fac de droit, les matières étaient trop tristes... et c'est sur ses bancs que je rencontrai une chanteuse de La Perdriole qui m’entraîna l'espace de 3 années dans son sillage chantant.
Puis vint le mariage, les enfants qui grandirent et enfin l'envie de rechanter en groupe qui me démangeai à nouveau. Et c'est après deux deuils très douloureux que je rejoins la chorale de l'UAICF (Chemins de Fer pour les deux dernières lettres...) où depuis 20 ans je chante en alti, sous l'égide de ma chef Nathalie, des chants renaissance, sacrés, négro spirituals, variétés, chants du monde, etc (z'avez qu'à venir si vous voulez savoir !) à 3 ou 4 voix !!!
En même temps, après le cathé, Melle Zélie nous apprenait avec son harmonium les chants sacrés de la messe en latin et quelques chants en français pour glorifier le bon Dieu.
Puis l'heure du collège arriva et Melle Lelonbec (j'ai oublié son nom) nous initia à la chorale à deux voix. Comme j'étais déjà sérieuse et appliquée j'eus la faveur d'apprendre les deux voix pour montrer la différence à mes petits camarades, lesquels avaient tendance à les confondre ou plutôt les mélanger volontairement... Nous chantions alors, et je m'en souviens comme si c'était hier Le petit cheval blanc et Vl'à l'bon vent !
Au lycée ce fut aussi la chorale du jeudi... Fallait bien occuper les pensionnaires !
A la fac de droit, les matières étaient trop tristes... et c'est sur ses bancs que je rencontrai une chanteuse de La Perdriole qui m’entraîna l'espace de 3 années dans son sillage chantant.
Puis vint le mariage, les enfants qui grandirent et enfin l'envie de rechanter en groupe qui me démangeai à nouveau. Et c'est après deux deuils très douloureux que je rejoins la chorale de l'UAICF (Chemins de Fer pour les deux dernières lettres...) où depuis 20 ans je chante en alti, sous l'égide de ma chef Nathalie, des chants renaissance, sacrés, négro spirituals, variétés, chants du monde, etc (z'avez qu'à venir si vous voulez savoir !) à 3 ou 4 voix !!!
Saint-Rémy c'est ma ville depuis 13 ans et j'avais envie de participer à son animation autrement que par la GV ou autre bougeotte et j'ai saisi cette opportunité pour rejoindre les apprentis chanteurs en solo, ce qui pour moi est assez difficile car tellement différent du chant choral en pupitre alto (je vous expliquerai !).
Françoise Gabillet
* tous les noms et prénoms sont authentiques et je rends hommage aux deux premiers
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